Ola ... Topsites, partenariats ... Je l'ai vu plusieurs fois avant de m'y inscrire.
→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur NSK :
Déjà ma première réaction était : WAAAAAAAA ** <3. Je suis littéralement tomber amoureuse. Le Contexte est super ! Déjà parce que les persos du manga n'existe pas et qu'il faut inventer le notre, et aussi l'histoire des dragons était pas mal =). Ensuite c'est son physique. Ce fofow en jette o/
→ Le code de validation :
Kakou oozora
Dernière édition par Suzuka Hayate le Sam 27 Nov - 0:07, édité 15 fois
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze Ven 19 Nov - 23:19
Bienvenue sur le forum, même si je l'ai déjà dit sur la ChatBox.
Je te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche de présentation, et n'hésite pas à prendre ton temps si tu en as besoin, du moment que tu nous préviens tout va bien .
Suzuka Hayate
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze Ven 26 Nov - 7:14
Hey o/ Enfin ! J'ai fini xD Bon la fin de l'histoire est bâclée désolé ... Voila. J'espère que ça ira.
Kanako Kokoro
Genin de Mizu No Kuni ♦ Messages : 20 ♦ Date d'inscription : 05/11/2010 ♦ Age : 28 ♦ Localisation : Dans un monde qui n'appartient qu'a moi
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze Sam 4 Déc - 6:54
Bonsoir & bienvenue parmi-nous demoiselle ♫ Désolé de l'attente de la validation, un peu surchargé ces temps-ci... A ce que je peux voir, tu veux le dragon du vent n'est-ce pas ? Je laisse à mes camarades du staff, te donner le test rp à faire pour que tu es ce titre. Sur ce, bonne chance.
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze Sam 4 Déc - 22:23
Et bien, je n'ai plus qu'à donner le sujet de ce test rp que voici : Compte-nous comment le dragon a-t-il été scellé en toi (via rp bien sûr), le tout dans un petit flashback. Pour ce qui est du reste, tu fais comme tu sens. Bon courage.
Suzuka Hayate
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze Mar 7 Déc - 7:50
//Hrp: Suzuka, trop jeune lors de cet événement, ne peut vous conter comment le Dragon du vent fut scellé en elle. Alors, je prends les commandes, et je vais vous raconter cette nuit où le vie d'un village, d'une famille, et, surtout, d'une fille, fut changée à tout jamais.//
Dans cet abri obscur, l'anxiété régner en maître. Chacun, penser à son proche qui se battait pour la survie du village. Tous étaient inquiets pour ceux qu'ils n'avaient pas vu se réfugier. Le vent de la bataille résonnait dans les oreilles, dominant les pleurs de ces villageois abattus. Le destin du village de Suna était entre les mains des shinobis qui étaient aussi leurs proches. Les bruits des kunais, le sifflement du vent, le son furtif de la mort qui arrache les vies de ces vaillants combattants. Le champ de bataille était un véritable carnage. Les larmes coulaient chez les enfants qui ne croyaient pas les chuchotements de leurs mères dient pour les rassurer. C'est alors, qu'un cri plus fort que tout les autres parvinrent aux oreilles des réfugiés. Tous se tournèrent vers la source de cet hurlement de souffrance.
Deux femmes se trouvaient au fond de l'abri, à l'écart. L'une était bien plus âgée que l'autre, qui semblait au terme de sa grossesse, vu la taille importante de son ventre. La plus jeune criait à s'en briser les cordes vocales, la sueur coulait le long de son doux visage torturait par la douleur. La vielle dame tenait fermement la main de la future maman et lui chantait une chanson douce comme pour l'apaiser. Les têtes s'étaient tournées vers la martyre qui, faute de ne plus pouvoir hurler, se contentait d'avoir un souffle accéléré.
« Sauve … Pff ff … Sauve-là ! Je t'en supplie ! SAUVE LA ! »
La vieille femme versa une larme et demanda à l'assemblée des volontaires pour aider l'accouchement. Deux femmes se levèrent. L'accouchement commença tant bien que mal. Des minutes entières où le visage de la vieille dame se décomposait plus l'accouchement avancer. Une autre femme pris sous son aile la vieille femme qui se cernait de plus en plus. Elle lui parla d'un ton rassurant :
« C'est votre fille ?
_Ou ...Oui. »
Alors que la nouvelle femme ne manqua pas d'éloge sur l'heureux évènement, la tête du nouveau-né apparut. Le vent s'agitait de plus en plus fort à l'extérieur, tous étaient recroquevillés les uns sur les autres. Dans ces instants où de nombreuses vies s'envolaient, où l'effroi parcourrait les esprits de tous, une naissance, une vie, pour tout ce massacre. Naître dans de tels circonstances de mort, naître alors que tous aimeraient déjà préserver leur propre vie avant d'en accepter une autre. Dans le chaos général, la femme poussa un dernier cri. Un cri de rejet, de soulagement, et l'enfant était né. Puis, un silence. Le vent ne soufflait plus, une ambiance lugubre planait sur le village. Les réfugiés retenaient leur souffle. Une minute de silence pour les morts … Pour leur mort prochaine ? Pour une naissance entachée ? L'enfant fut posé dans les bras de sa mère dont la respiration se calmait petit à petit. Ceci était la fin pour certain, mais le début pour une autre. Sur les joues de l'heureuse mère coulaient des larmes de chaleur et de joie, alors que le moment était aux pleurs de détresse. La petite tête de l'enfant était posé sur le bras de sa mère, seul ces cris rompait le lourd silence. Au bout de quelques minutes, un enfant ne put s'empêcher de briser le calme ambiant.
« Maman ? C'est fini ? Papa va revenir ? ... »
Pour seul réponse à la chair de sa chair, la mère qui était devant l'entrée de l'abri, n'eut qu'une larme. Elle n'avait pas de réponse non plus. Comment rassurer son enfant alors que l'on ne peut pas le faire sur nous-même. Le silence reprit place. Le nouveau-né avait enfin cessé ses pleurs.
Une surprise ravit la plupart des réfugiés. Alors que le vent et les bruits de la bataille s'étaient tus depuis, déjà, dix minutes qui avaient semblé interminables. Le Kazekage fit son apparition dans l'abri. Son visage n'était pas souriant, mais le savoir en vie rassuré les coeurs. La jeune mère poussa une exclamation. On voyait sur son visage qu'elle était épuisée et que le sommeil la gagnait. Accoucher dans ces conditions avait tracé des marques sur son visage, qui la rendaient maladive et mourante. Le Kazekage se rua sur elle et prit sa main. Il tourna alors son visage vers la vieille dame qui avait veillé sur la jeune mère. Elle se contenta de baisser la tête d'un air malheureux sous le regard de celui-ci. Alors, il adressa à la femme qui tenait avec tendresse son bébé, un regard terrorisé. Il murmura :
« Je dois le faire ma soeur … Je suis désolé. »
La mère se recroquevilla, tenant plus fermement son enfant. Elle pleura. L'ignorant presque, le Kazekage se tourna vers les réfugié, arborant une expression calme, dénuée d'inquiétude, comme transformé.
« Vous pouvez tous sortir, le fléau est vaincu. On s'occupera de vous. Sortez ! »
Son dernier mot trembla, et tous ne s'attardèrent pas sentant que des choses horribles allaient se produire. Même la vielle dame sortit, mais en passant, elle lança :
« Fais en sorte de ne pas échouer et de la tuer mon fils. »
Sur ce, elle disparut à une vitesse impressionnante pour son âge, que cela tenait du prodige. Le Kazekage, après avoir lancé un dernier regard d'excuse à sa soeur, s'empara avec violence de l'enfant qui hurla. Le bébé eut la respiration qui s'accéléra, comme si il sentait que l'on allait l'arracher au bonheur. La mère criait de détresse presque plus que son enfant. Elle pleurait jusqu'à ne plus pouvoir distinguer ce qui l'entourait. Le Kazekage posa l'enfant, et tout autour de lui prépara une sorte de rituel. Lorsqu'il alluma la dernière bougie, il se mit à saigner de la bouche, et le vent reprit son souffle même à l'intérieur de l'abri. Mais, il n'avait pas la même violence que lors de la bataille, c'était comme s'il ne pouvait pas soufflait à pleine puissance. Il finit de dessiner le dernier sceau, et posa une point sur l'épaule de l'enfant qui pleurait de plus belle. Le sang coulait de plus en plus vite, et le vent prenait de plus en plus d'intensité.
Le Kazekage se tourna avec violence. La mère se tut en voyant le visage pâle du mort sur celui de son frère. Les cernes noires de la souffrance, et les filets de sang dégoulinant de sa bouche. Un spectacle des plus horrifiant qui fit taire la mère en révolte.
« Je … Je dois … Je dois le faire tant que j'en ai encore la force, je ne tiendrais pas très longtemps. »
Un rituel de signe, et le sceau se scella. Le vent souffla avec une telle force, qu'il arracha tous sur son passage, jusqu'à la chair, puis la vie, des personnes présente. Ce fut ainsi que la jeune mère et le Kazekage rendirent l'âme. Seul l'enfant, qui continuait à pleurer, fut épargner. Mais il possédait une marque sur l'épaule …
Quelques heures plus tard, le calme était revenu sur le village ravagé de Suna. Mais pas partout, l'esprit de la vieille dame restait tourmenté pour ses enfants. Elle restait debout, alors que tous s'activaient pour retrouver leurs proches. Le regard vide.
« Inoue-san ! Que faîtes-vous ici ? Où est ma femme ? … Et le Kazekage … Que c'est-il passé ? Ont-ils réussit ? Inoue-san ? Inoue-san ! Vous allez bien ? »
La vieille femme mit un certain à réagir, puis, elle se tourna vers son gendre, le regard reprenant de la vie, mais une vie mélancolique.
« Je n'ose pas aller chercher l'enfant …
_Mais !... »
Sans attendre la suite, la vieille dame disparut. Elle courut vers l'abri au le dragon du vent était censé être scellé dans la jeune Suzuka. Elle était suivie de près par son gendre, qui souhaitait par dessus tout voir l'état de sa femme. Lorsqu'il arrivèrent dans l'abri, une vision d'horreur s'offrit à eux. L'enfant dormait au centre dans le calme de l'effroi, les vêtements du Kazekage et ceux de la mère étaient en lambeaux au sol. Et comme aplatie puis étalée, la chair des deux frère et soeur gisait au sol. Pourtant, aucun des deux ne cria. La vieille dame s'approcha et prit l'enfant dans ses frêles bras. Elle regarda son gendre qui s'était agenouillé sur les restes de sa femme. Il pleurait dans un terrible silence. Elle s'avança vers lui et lui tendit sa fille. Il la refusa, il attrapa plutôt les vêtements de sa femme.
« Tu ne prends pas ton enfant ?
_Ce monstre n'est pas mon enfant ! »
Le silence fut encore plus terrible que l'attente des réfugiés. La vieille dame fronça les sourcils s'apprêtant à répliquer, mais il la coupa dans son élan.
« Je ne veux plus la voir … » //Hrp: Je ne sais pas si vous le demandez ... Mais dans certains forums ils demandent ces informations fournies avec le test rp. Donc, habituellement mes post sont long d'une page, plus ou moins. Et je peux mettre deux semaines pour répondre à un rp, pas plus sauf problèmes Irl, mais je ne réponds jamais le jour le jour. En moyenne quatre jours d'attente pour une réponse pendant la période scolaire. C'est plus rapide pendant les vacances.//
Suzuka Hayate
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze Sam 11 Déc - 11:52
Bonsoir.
Donc voilà. Je vais quitter le forum, vous pouvez supprimé mon compte et ma présentation ... J'ai plusieurs raisons à ne pas me trouver apte à incarner le Jinbutsu du vent: 1-Problèmes personnels irl, et je vais sûrement arrêter le rp quelques temps ... Donc je ne pourrais pas rp ici, pardon. 2-Manque de motivation après tout le temps que j'attends.
Voila. Donc je vous dis tous au revoir et bonne continuation.
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Sujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze
Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze
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