Naruto : Sekai Kaerizaki
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 Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze

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Suzuka Hayate
Suzuka Hayate♦ Messages : 4
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MessageSujet: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptyJeu 18 Nov - 7:13

Suzuka Hayate
Ne jamais se fier aux apparences ou vous en mourrez. Surtout si je suis sous le masque !



→ Nom & Prénom :
Suzuka ( Vent Frais ) Hayate
→ Age :
19 années de mensonge.
→ Sexe :
Féminin.
→ Ses Passions :
Une passion ? Pourquoi pas ... Me promener, regarder les autres et les désastres du monde. M'entraîner, que se soit à la danse ou au combat.
→ Ses Phobies :
La vérité. Et la mort comme le plupart des humains.
→ Ses Buts :
Un but ? Je pense que dans les circonstances c'est plutôt difficile. Mais, je désire par dessus tout protéger. Protéger se que j'ai détruit. Protéger et enlever toutes les craintes que les autres ont envers moi. Et pour cela, il faut que je devienne assez forte pour protéger mon village.
→ Son mental en quelques mots :
Mélancolique, enjouée, silencieuse, persévérante, sensible, artiste, renfermée.
→ Son village :
Kaze no kuni
→ Le perso sur votre avatar :
Taiwan.


Histoire de Suzuka Hayate


Un immense désert de sable, un soleil ardent toute la journée, l'aridité et la sécheresse, avec une touche de vent frappant les visages. Des nuits fraîches qui contrastaient avec les températures du jour, le silence nocturne … Bienvenue au Pays du Vent, mon Pays.

Je m'appelle Suzuka Hayate, je vis au village caché du Sable, Sunagakure. Tous mes souvenirs et mon enfance s'y trouve … Est-ce bien ou mal ? Je ne pourrais pas le juger. Je suis née un de ces jours où le vent s'abattait sur le village, obligeant ces habitants à fuir leurs maisons qui risqueraient de s'écrouler sur eux et de se réfugier dans des abris. Ce fut les paroles de ma Grand-mère, elle m'avait conter cette histoire de nombreuses fois, si bien que je la connaissait par coeur. Le jour de ma naissance, la bête qui détruisait les régions alentours depuis des mois, arriva au village de Suna. Mais, il se trouvait que ce village n'était pas rempli d'habitants paisibles et qui allait regarder leurs vies se détruire sous leurs yeux, non … Ce village contenait des shinobis. Les shinobis étaient les gens qui devait pouvoir arrêter ce fléau. Ils se bâtèrent toute une nuit, et ce fut cette nuit là que je vins au monde. La nuit où des vies succombaient sous la puissance du dragon, la nuit où la mort récupérait de nombreuses âmes pleines d'honneurs et qui eurent le droit à un monument à leur gloire au village, cette même nuit, une seule vie fut offerte. Cette vie était un cadeau en échange des gens qui mourraient pour la défendre. Une vie entachait de sang qui fut la mienne.

Le vent avait cessé, pourtant, personne ne sortait de l'abri. Tous priait pour que leur mari, père ou même ami, soit encore vivant. Certaines mères déambulaient entre les autres qui était recroquevillaient sur eux-même, elles pleuraient et regarder si leurs enfants qui étaient partis de l'autre côté avait pu s'abriter ici, ou elles interrogeaient ceux qui avait pu les apercevoir se cacher ailleurs. Une femme était allongée les jambes ouvertes dans le fond. Auprès d'elle, une vielle dame qui lui serrait la main et lui chuchotait des choses apaisantes à l'oreille. L'une était ma mère, et l'autre ma Grand-mère. J'étais la cause de leur souffrance. Le matin se levait, et un homme arriva. C'était mon oncle, à cette époque, il était le Kazekage. Il rassura tout le monde qui sortirent aussi vite que si il fuyait la peste. Puis, il s'approcha de sa soeur et pris le nouveau né. Ma mère ne pus qu'affichait un faible sourire avant de lâcher l'enfant de ses entrailles. Mon père accourut que bien plus tard pour me prendre dans ses bras et m'embrasser. Voilà l'histoire que l'on me conta.

Venons alors dix années plus tard. J'étais devenue une petite fille épanouie et pleine de beauté. Tous me comparaient à ma ravissante mère, il m'approprier sa beauté et son élégance. Les louanges qu'ils me contaient sur elle me réchauffaient le coeur. Car moi, voyez-vous, je ne l'ai jamais connue. Il semblerait qu'elle soit morte lorsque je n'avais que un an et qu'elle partit en mission ne plus jamais y revenir. J'acceptai cette réalité, mais, du côté de mon père c'était autre chose. Je ne l'avais jamais vu sourire, je ne l'avais jamais vu heureux. Ma Grand-mère, qui s'occupait de moi à l'époque, m'avait dit que c'était la mort de ma mère qui l'avait rendu comme cela. Bourru, antipathique, froid, c'était à peine si j'avais le droit à un bonjour. Mais, malgré tout ça je restais heureuse avec le sourire aux lèvres. Ma Grand-mère était là, près de moi, j'avais le droit à l'admiration des autres pour ma beauté et mon élégance, de plus, ma famille était notoire au village. Oui, ma famille était ma dignité et ma fierté. Pourtant, elle était aussi un fardeau. De la famille Hayate n'est sorti que des shinobis de talent et de renom, d'où sa réputation, mais … moi... Mon chakra n'est pas maniable, je n'ai aucun talent en Taïjutsu et je ne vous parle pas de mes notes en classe … Par contre, je n'avais jamais osé le dire à qui que ce soit. Je ne voulais pas dire que je n'étais pas faîtes pour la vie de kunoichi ...

Comme vous pouvez le constater, ma vie qui semblait être réduite à être admirer et vivre dans la maison Hayate dans le luxe et la noblesse, était, en réalité, qu'un voile cachant la vérité. Je ne l'avouerais jamais. Mais, un de ces jours ou je rentrais d'un entraînement secret et que j'allais chercher refuge dans les bras de ma Grand-mère, je trouvai à la place, un père, grave et mystérieux, se trouvant sur le seuil de la porte. Cela devait bien faire deux semaines que je ne l'avais pas vu puisqu'il était parti en mission loin d'ici. Je lui souris d'un sourire qui ne me fut pas rendu … Il m'annonça sur un ton grave une nouvelle des plus inattendue. Ma Grand-mère était morte. Je ne réagissais pas tout de suite, c'était comme dans un rêve … Au début immobile pendant des secondes qui ressemblaient à des années, puis, je fus prise de convulsions et de tremblements incontrôlable. Je n'y croyais pas. La seule personne qui me restait au monde avait disparue. Que me restait-il ? Je voulais la voir. Je le dis à mon père d'une voix qui s'efforçait à rester calme. Je n'eus comme réponse qu'un simple hochement de tête.

Tout fut déformé, tout mourrait sous mes yeux. Mon père … Voilà ce qui me restait. Ne pouvait-il pas me consoler ? Ne pouvait-il pas me prendre dans ses bras ? Et pourquoi ne pas me montrer ma Grand-mère ? … Il me détestait à ce point pour ne pas que je mérite l'attention ? Il préférait me montrer son dos ! Je ne me contrôlais plus … Je détestais le monde entier. Je lui en voulais pour une raison que j'ignorais. Alors, je n'étais plus moi. La Suzuka gentille, belle et innocente devint spectatrice. Ce n'étais pas elle qui levait se mains blanches et frêle. Ce n'était plus elle qui produisait une tel quantité de chakra, si bien qu'on le voyait entourer ce petit corps. Ce n'était pas elle qui produisait une telle frayeur qui c'était dessinée sur le visage de mon père. C'était un cauchemar. J'agissais malgré moi. Et ces images qui sont encore gravées dans ma mémoire ne me semblaient pas réelles. Mais, le pire, ce fut que je ressentais comme une libération. Un malin plaisir de voir cet homme se faire étrangler par des mains qui n'étaient plus les miennes. Rouge, Rouge sur un fond blanc … Couleur impure qui m'envahit et qui m'offrit le goût de la mort. Jouissance du désespoir, tout s'effondra …

Blanc, du blanc m'entourait … Je distinguai une masse blanchâtre, puis je clignai des yeux pour voir des visages. A peine ne pus-je les discerner, que j'essayai de me levai. Je fus repoussai par je ne sais quoi, sûrement une main. La tête appuyée sur l'oreiller, des souvenirs me revinrent petit à petit. Je fus prise de sueurs froides et je tentais de me relever une nouvelle fois, sans succès. Je reconnus deux infirmiers et mon instituteur. Ils me regardaient tous d'un air inquiet. Je me pressai de leur demander si ce que j'avais vu était vrai ... La mort de ma Grand-mère ... Avais-je vraiment assassiné mon père ... ? Ils me fixèrent. Puis mon instituteur me dit, dans un sourire qui semblait faux, que j'avais du faire un mauvais rêve. Il me dit qu'il avait eu une énorme tempête qui avait détruit notre maison, et que ma Grand-mère était morte à l'intérieur. Puis il me prit la main et s'excusa. Il me dit que je n'avais pas de chance car mon père n'était pas rentré de mission et qu'il était, lui aussi décédé. Je me retrouvais seule. Pourtant, je n'arrivais pas à croire cela ... Ca me semblait trop étrange. Tout cela ne pouvais pas être des coïncidences ... De plus, il n'y avait que notre maison qui avait été endommagée par la tempête. C'était trop étrange.

Les années passèrent ... Depuis l'incident, j'arrivais de mieux en mieux à contrôler mon chakra. J'étais devenue une puissante kunoichi , qui n'avait pour point faible que le combat rapproché. Mais, je me débrouillais quand même en taïjutsu. La vie qui m'avait offert la beauté, puis la force. En échange, elle m'avait pris tout mes proches ... Un soir où je ne trouvais pas le sommeil, je me retrouvai sur le toit. Mais le calme nocturne fut interrompu par un ninja qui essaya de me poignarder par derrière. Je reculai,et lui foutu un coup de pied. Après un combat où je le mit KO, je me rendis compte qu'il était ivre. Je lui demandai pourquoi il faisait ça. Il me répondit sèchement que j'étais un danger pour le village et que je devais mourir avant de détruire le village. Je me moquais de lui. Puis il me demanda de regarder sur mon épaule. Depuis l'accident je possédais une marque qui s'agrandissait au fil des années ... I m'avoua que c'était un sceau. Il baratina. Il me dit que ma mère était morte en me mettant au monde. Que mon oncle, lui, mourut par ma faute en scellant le dragon du vent en moi. J'étais donc un Jinbutsu. Il continua sa tirade, sur le fait que j'avais tué mon père et détruit ma maison, et que le compte à rebours était lancé pour que le sceau se descelle et que le dragon revienne. Assez ! Je le tua. Oui, de mes propres mains je le tua ... C'était un acte horrible. Je cachai le corps et ne le dis à personne. Qu'avais-je fait ? Le pire, c'est que je croyais les paroles de l'ivrogne ... Ma vie ... Serait donc basée sur des mensonges ... Je voulais mourir.



Physique de Suzuka Hayate


~ Le vent soufflait sur les hautes dunes de sables. Assise sur l'une d'elle, les cheveux longs et bruns volants, les yeux de la couleur de l'écorce, une jeune femme attendait. Qu'attendait-elle ? Que pensait-elle ? Cela restait un mystère. Le visage aux traits fins et envoûtants, à la pâleur laiteuse malgré le soleil qui tapait, le nez qui allongeait le profil avec éloquence, dans ce visage c'était la splendeur féminine défiant l'innocence de l'enfant. Les lèvres roses et gourmandes n'appelant qu'à être touchées, elles étaient désirables. Les pommettes basses, par contre, ne souriaient pas. Elles rappelaient l'adulte sur ce visage angélique. Les sourcils aussi possédaient cette gravité qui contrastait énormément avec le regard et les traits enfantins de la jeune femme. Un regard qui, quant à lui, était encadrait par d'épais cils noirs, qui représentait la touche féminine et envoûtante de ce visage.
~ Les rafales cessèrent, les longs cheveux lisses de la jeune femme retombèrent sur ses épaules au fur et à mesure que le souffle diminué. Lorsque plus rien ne soulevait les mèches effilées, elle se leva de toute son élégance. Cette femme, qui frôler le mètre soixante-dix, possédait des formes ondulées qui mettait en avantage ses atouts féminins. Mais tout cela contrastait avec sa taille fine, trop fine peut-être ... Car cinquante deux kilos, c'était peu pour une femme avec ses avantages et sa taille. Elle avait aussi, les jambes élancées de la sportive souple, ce qui lui offrait une grâce naturelle dont elle semblait savoir jouer. Elle s'étira courbant un peu son dos, puis commença à avancer.
~ Son allure, lente et à la fois pleine d'énergie, montrait la noblesse de la jeune femme. Elle ressemblait à ses mythes qu'était ces femmes, mystérieuses et désirée, les geishas. Sa main, dans un mouvement pleins de grâce sans non plus en faire trop, passa dans ses cheveux et replaça l'une de ses mèches. Elle portait un haut dit chinois, au col qui remonte un peu, et fermé par des fils dorés. Son poignet était caché par de longues manches, ce qui le rendait encore plus désirable et merveilleux lorsque l'on le voyait. Ses jambes, quant à elle, était cachées par sa longues jupes d'une teinte rose plus clair que le haut qui tirait au fushia. Lorsqu'elle marchait, une ouverture dans la jupe permettait de voir sa jambe gauche jusqu'à la cuisse. Ses habits étaient vraisemblablement nobles et élégants, mais, quelques détails comme l'ouverture dans la jupe, les jarretières qui maintenaient des armes et autres accessoires d'une kunoichi, nous permettaient de voir que la tenue avait été réadaptée au combat. Et, il semblait que le rose dans toutes ses nuances était sa couleur fétiche, ce qui allait particulièrement avec son teint pâle. Quant à ses chaussures, c'étaient de simples ballerines blanches. Mais, remontons à un détail important, dans ses cheveux, il y avait des fleurs blanches et roses accrochées. A première vu, ce serait de simples fleurs, pourtant, dans ce désert aucune fleur ne pouvait tenir. Celles-ci étaient fausses. On pourrait associer ça à sa vie, au tout avait été faux et tissu de mensonges. Elle ne se sépare jamais de ces fleurs … On peut ainsi considérer Suzuka comme étant la fleur du désert.


Derrière l'écran (:


→ Ton prénom :
Suzuka suffira.
→ TON AGE :
14 ans.
→ Tu vis où ? :
Tout en haut de la France.
→ Comment as-tu découvert NSK :
Ola ... Topsites, partenariats ... Je l'ai vu plusieurs fois avant de m'y inscrire.
→ Qu'est-ce qui t'as attiré/incité à t'inscrire sur NSK :
Déjà ma première réaction était : WAAAAAAAA ** <3. Je suis littéralement tomber amoureuse. Le Contexte est super ! Déjà parce que les persos du manga n'existe pas et qu'il faut inventer le notre, et aussi l'histoire des dragons était pas mal =). Ensuite c'est son physique. Ce fofow en jette o/
→ Le code de validation :
Kakou oozora


Dernière édition par Suzuka Hayate le Sam 27 Nov - 0:07, édité 15 fois
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Natsu Dragneel
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MessageSujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptyVen 19 Nov - 23:19

Bienvenue sur le forum, même si je l'ai déjà dit sur la ChatBox.

Je te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche de présentation, et n'hésite pas à prendre ton temps si tu en as besoin, du moment que tu nous préviens tout va bien Smile.
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Suzuka Hayate
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MessageSujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptyVen 26 Nov - 7:14

Hey o/ Enfin ! J'ai fini xD Bon la fin de l'histoire est bâclée désolé ... Voila. J'espère que ça ira.
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Kanako Kokoro
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MessageSujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptySam 4 Déc - 6:54

Bonsoir & bienvenue parmi-nous demoiselle ♫
Désolé de l'attente de la validation, un peu surchargé ces temps-ci...
A ce que je peux voir, tu veux le dragon du vent n'est-ce pas ? Je laisse à mes camarades du staff, te donner le test rp à faire pour que tu es ce titre.
Sur ce, bonne chance.
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Natsu Dragneel
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MessageSujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptySam 4 Déc - 22:23

Et bien, je n'ai plus qu'à donner le sujet de ce test rp que voici : Compte-nous comment le dragon a-t-il été scellé en toi (via rp bien sûr), le tout dans un petit flashback. Pour ce qui est du reste, tu fais comme tu sens. Bon courage.
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Suzuka Hayate
Suzuka Hayate♦ Messages : 4
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MessageSujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptyMar 7 Déc - 7:50

//Hrp: Suzuka, trop jeune lors de cet événement, ne peut vous conter comment le Dragon du vent fut scellé en elle. Alors, je prends les commandes, et je vais vous raconter cette nuit où le vie d'un village, d'une famille, et, surtout, d'une fille, fut changée à tout jamais.//


Dans cet abri obscur, l'anxiété régner en maître. Chacun, penser à son proche qui se battait pour la survie du village. Tous étaient inquiets pour ceux qu'ils n'avaient pas vu se réfugier. Le vent de la bataille résonnait dans les oreilles, dominant les pleurs de ces villageois abattus. Le destin du village de Suna était entre les mains des shinobis qui étaient aussi leurs proches. Les bruits des kunais, le sifflement du vent, le son furtif de la mort qui arrache les vies de ces vaillants combattants. Le champ de bataille était un véritable carnage. Les larmes coulaient chez les enfants qui ne croyaient pas les chuchotements de leurs mères dient pour les rassurer. C'est alors, qu'un cri plus fort que tout les autres parvinrent aux oreilles des réfugiés. Tous se tournèrent vers la source de cet hurlement de souffrance.

Deux femmes se trouvaient au fond de l'abri, à l'écart. L'une était bien plus âgée que l'autre, qui semblait au terme de sa grossesse, vu la taille importante de son ventre. La plus jeune criait à s'en briser les cordes vocales, la sueur coulait le long de son doux visage torturait par la douleur. La vielle dame tenait fermement la main de la future maman et lui chantait une chanson douce comme pour l'apaiser. Les têtes s'étaient tournées vers la martyre qui, faute de ne plus pouvoir hurler, se contentait d'avoir un souffle accéléré.

« Sauve … Pff ff … Sauve-là ! Je t'en supplie ! SAUVE LA ! »

La vieille femme versa une larme et demanda à l'assemblée des volontaires pour aider l'accouchement. Deux femmes se levèrent. L'accouchement commença tant bien que mal. Des minutes entières où le visage de la vieille dame se décomposait plus l'accouchement avancer.
Une autre femme pris sous son aile la vieille femme qui se cernait de plus en plus. Elle lui parla d'un ton rassurant :

« C'est votre fille ?

_Ou ...Oui. »

Alors que la nouvelle femme ne manqua pas d'éloge sur l'heureux évènement, la tête du nouveau-né apparut. Le vent s'agitait de plus en plus fort à l'extérieur, tous étaient recroquevillés les uns sur les autres. Dans ces instants où de nombreuses vies s'envolaient, où l'effroi parcourrait les esprits de tous, une naissance, une vie, pour tout ce massacre. Naître dans de tels circonstances de mort, naître alors que tous aimeraient déjà préserver leur propre vie avant d'en accepter une autre. Dans le chaos général, la femme poussa un dernier cri. Un cri de rejet, de soulagement, et l'enfant était né. Puis, un silence. Le vent ne soufflait plus, une ambiance lugubre planait sur le village. Les réfugiés retenaient leur souffle. Une minute de silence pour les morts … Pour leur mort prochaine ? Pour une naissance entachée ? L'enfant fut posé dans les bras de sa mère dont la respiration se calmait petit à petit. Ceci était la fin pour certain, mais le début pour une autre. Sur les joues de l'heureuse mère coulaient des larmes de chaleur et de joie, alors que le moment était aux pleurs de détresse. La petite tête de l'enfant était posé sur le bras de sa mère, seul ces cris rompait le lourd silence. Au bout de quelques minutes, un enfant ne put s'empêcher de briser le calme ambiant.

« Maman ? C'est fini ? Papa va revenir ? ... »

Pour seul réponse à la chair de sa chair, la mère qui était devant l'entrée de l'abri, n'eut qu'une larme. Elle n'avait pas de réponse non plus. Comment rassurer son enfant alors que l'on ne peut pas le faire sur nous-même. Le silence reprit place. Le nouveau-né avait enfin cessé ses pleurs.

Une surprise ravit la plupart des réfugiés. Alors que le vent et les bruits de la bataille s'étaient tus depuis, déjà, dix minutes qui avaient semblé interminables. Le Kazekage fit son apparition dans l'abri. Son visage n'était pas souriant, mais le savoir en vie rassuré les coeurs. La jeune mère poussa une exclamation. On voyait sur son visage qu'elle était épuisée et que le sommeil la gagnait. Accoucher dans ces conditions avait tracé des marques sur son visage, qui la rendaient maladive et mourante. Le Kazekage se rua sur elle et prit sa main. Il tourna alors son visage vers la vieille dame qui avait veillé sur la jeune mère. Elle se contenta de baisser la tête d'un air malheureux sous le regard de celui-ci. Alors, il adressa à la femme qui tenait avec tendresse son bébé, un regard terrorisé. Il murmura :

« Je dois le faire ma soeur … Je suis désolé. »

La mère se recroquevilla, tenant plus fermement son enfant. Elle pleura. L'ignorant presque, le Kazekage se tourna vers les réfugié, arborant une expression calme, dénuée d'inquiétude, comme transformé.

« Vous pouvez tous sortir, le fléau est vaincu. On s'occupera de vous. Sortez ! »

Son dernier mot trembla, et tous ne s'attardèrent pas sentant que des choses horribles allaient se produire. Même la vielle dame sortit, mais en passant, elle lança :

« Fais en sorte de ne pas échouer et de la tuer mon fils. »

Sur ce, elle disparut à une vitesse impressionnante pour son âge, que cela tenait du prodige. Le Kazekage, après avoir lancé un dernier regard d'excuse à sa soeur, s'empara avec violence de l'enfant qui hurla. Le bébé eut la respiration qui s'accéléra, comme si il sentait que l'on allait l'arracher au bonheur. La mère criait de détresse presque plus que son enfant. Elle pleurait jusqu'à ne plus pouvoir distinguer ce qui l'entourait. Le Kazekage posa l'enfant, et tout autour de lui prépara une sorte de rituel. Lorsqu'il alluma la dernière bougie, il se mit à saigner de la bouche, et le vent reprit son souffle même à l'intérieur de l'abri. Mais, il n'avait pas la même violence que lors de la bataille, c'était comme s'il ne pouvait pas soufflait à pleine puissance. Il finit de dessiner le dernier sceau, et posa une point sur l'épaule de l'enfant qui pleurait de plus belle. Le sang coulait de plus en plus vite, et le vent prenait de plus en plus d'intensité.

« Arrêtes ! Mon … MON ENFANT ! SUZUKA ! SUZUKA-CHAN ! MA SUZUKA ! »

Le Kazekage se tourna avec violence. La mère se tut en voyant le visage pâle du mort sur celui de son frère. Les cernes noires de la souffrance, et les filets de sang dégoulinant de sa bouche. Un spectacle des plus horrifiant qui fit taire la mère en révolte.

« Je … Je dois … Je dois le faire tant que j'en ai encore la force, je ne tiendrais pas très longtemps. »

Un rituel de signe, et le sceau se scella. Le vent souffla avec une telle force, qu'il arracha tous sur son passage, jusqu'à la chair, puis la vie, des personnes présente. Ce fut ainsi que la jeune mère et le Kazekage rendirent l'âme. Seul l'enfant, qui continuait à pleurer, fut épargner. Mais il possédait une marque sur l'épaule …

Quelques heures plus tard, le calme était revenu sur le village ravagé de Suna. Mais pas partout, l'esprit de la vieille dame restait tourmenté pour ses enfants. Elle restait debout, alors que tous s'activaient pour retrouver leurs proches. Le regard vide.

« Inoue-san ! Que faîtes-vous ici ? Où est ma femme ? … Et le Kazekage … Que c'est-il passé ? Ont-ils réussit ? Inoue-san ? Inoue-san ! Vous allez bien ? »

La vieille femme mit un certain à réagir, puis, elle se tourna vers son gendre, le regard reprenant de la vie, mais une vie mélancolique.

« Je n'ose pas aller chercher l'enfant …

_Mais !...  »

Sans attendre la suite, la vieille dame disparut. Elle courut vers l'abri au le dragon du vent était censé être scellé dans la jeune Suzuka. Elle était suivie de près par son gendre, qui souhaitait par dessus tout voir l'état de sa femme. Lorsqu'il arrivèrent dans l'abri, une vision d'horreur s'offrit à eux. L'enfant dormait au centre dans le calme de l'effroi, les vêtements du Kazekage et ceux de la mère étaient en lambeaux au sol. Et comme aplatie puis étalée, la chair des deux frère et soeur gisait au sol. Pourtant, aucun des deux ne cria. La vieille dame s'approcha et prit l'enfant dans ses frêles bras. Elle regarda son gendre qui s'était agenouillé sur les restes de sa femme. Il pleurait dans un terrible silence. Elle s'avança vers lui et lui tendit sa fille. Il la refusa, il attrapa plutôt les vêtements de sa femme.

« Tu ne prends pas ton enfant ?

_Ce monstre n'est pas mon enfant ! »

Le silence fut encore plus terrible que l'attente des réfugiés. La vieille dame fronça les sourcils s'apprêtant à répliquer, mais il la coupa dans son élan.

« Je ne veux plus la voir … »

//Hrp: Je ne sais pas si vous le demandez ... Mais dans certains forums ils demandent ces informations fournies avec le test rp. Donc, habituellement mes post sont long d'une page, plus ou moins. Et je peux mettre deux semaines pour répondre à un rp, pas plus sauf problèmes Irl, mais je ne réponds jamais le jour le jour. En moyenne quatre jours d'attente pour une réponse pendant la période scolaire. C'est plus rapide pendant les vacances.//
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Suzuka Hayate
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MessageSujet: Re: Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze   Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze EmptySam 11 Déc - 11:52

Bonsoir.

Donc voilà. Je vais quitter le forum, vous pouvez supprimé mon compte et ma présentation ...
J'ai plusieurs raisons à ne pas me trouver apte à incarner le Jinbutsu du vent:
1-Problèmes personnels irl, et je vais sûrement arrêter le rp quelques temps ... Donc je ne pourrais pas rp ici, pardon.
2-Manque de motivation après tout le temps que j'attends.

Voila. Donc je vous dis tous au revoir et bonne continuation.
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Suzuka Hayate, Kunoichi no Kaze

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